
Sa découverte
« J’ai participé à ma première séance de yoga du rire il y a deux ou trois ans, via une offre gratuite de l’association Arthrite. J’ai tout de suite bien aimé et, depuis, je viens plusieurs fois par an quand mes possibilités me le permettent. »
Son envie de tester
« Cela a coïncidé avec l’âge de ma fille. À 17 ans, on a moins besoin de sa famille, on est plus avec les amis ; les jeunes de cet âge sont de plus en plus autonomes. J’avais envie de quelque chose qui m’apporte de la joie. J’ai vu l’annonce pour le yoga du rire, j’en avais déjà entendu parler, et là c’était l’occasion de tester. C’est ça qui m’a donné envie : apporter plus de joie dans ma vie. »
Ce qui l'a convaincue de continuer
« J’ai trouvé que c’était très pratique que ce soit en ligne. Il y avait une belle énergie du groupe, une animation variée – ce n’est pas chaque fois la même chose. C’est facile, 35 minutes, c’est simple à caser une fois par mois dans un emploi du temps. L’horaire proposé, l’animation, le groupe, tout m’a bien plu.
Dès la première fois, je me sentais à l’aise. Et à la fin de cette séance, qui avait lieu dans une période (automne, hiver ou début du printemps) où je sentais mes articulations un peu moins souples, j’ai vraiment senti une bonne détente. Je l’ai ressenti plusieurs fois par la suite : les fois où j’avais une articulation qui souffrait un tout petit peu, sentir la détente après, ça donnait fatalement envie de continuer. »
La création de lien en visioconférence
« Avec les autres participants, pas tellement… sauf que l’année passée, au mois de mai, tu nous as offert une séance gratuite. On n’était pas nombreuses, mais il y avait Virginie, et vous avez un peu parlé du groupe « Osons la Parole ». Grâce à ça, j’ai pu tisser un lien avec elle en lui demandant ce qu’elle faisait. Elle m’a envoyé les infos, j’ai rejoint le groupe. Même si la plupart ont des pathologies comme la fibromyalgie ou la fatigue chronique, j’étais la bienvenue aussi. Par mon parcours de malade chronique, j’ai vu qu’on avait pas mal de points communs.
Maintenant, elle propose des rendez-vous deux fois par mois ; je n’y vais pas à chaque fois, mais je suis vraiment contente de faire partie de ce groupe. J’ai aussi suivi les ateliers d’art-thérapie évolutive de Brigitte et d’hypersensibilité avec Anne-Catherine. C’était des exercices pratiques et j’y reviens de temps en temps.
« Le fait que ce soit en ligne, c’est précieux. »
[Note de l'intervieweuse : Isabelle ajoute que]
« Heureusement qu’il y a eu le confinement, parce que sinon je n’aurais jamais proposé du yoga du rire en ligne. Et je les maintiens car ça touche un autre public. »
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